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Michel est accompagné de sa Fitbit durant l’entièreté de la journée et s’y réfère fréquemment. Durant ses heures de travail, Michel se fait avertir par sa montre Fitbit si jamais une nouvelle rencontre entre employés ou un rendez-vous a lieu. Cette fonctionnalité permet une transmission d’informations beaucoup plus rapide et personne ne peut nier que l’information se soit rendue à destination.

En effet, certains collègues de Michel utilisent trop souvent l’excuse du « courriel non reçu » afin de manquer des réunions. Michel commence à être irrité de cette situation. Ainsi, c’est pour cette raison que les patrons de Michel ont obligé les employés de porter une Fitbit à leur poignet en permanence durant leurs heures de travail. La majorité des employés n’étaient pas vendus à l’idée par peur que leurs patrons en profitent pour les surveiller sur leurs heures extérieures de travail. Effectivement, les employés décident s’ils veulent ou non profiter de cet outil hors du travail.

Malheureusement, étant un appareil électronique, la possibilité de piratage est présente. Par exemple, le 2 septembre 2018, plus de 2 500 bracelets Fitbit se sont fait piratés et plusieurs informations privées telles que des prénoms, noms ainsi que des adresses courriel ont été envoyées à d’autres utilisateurs de l’appareil Fitbit (BALL, 2018). Ce type de problème pourrait engendrer des situations dérangeantes pour l’entreprise comme la propagation d’informations confidentielles sur les patrons, les employés, leurs tâches, leurs sujets de réunion, etc.

Si jamais une entreprise concurrente a accès à ces données, l’employeur de Michel pourrait subir de nombreuses conséquences. D’autant plus que la vie privée des employés serait en jeu.

Heureusement, selon l’article 3 de PIPEDA, la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques énonce que: « (la loi PIPEDA) a pour objet de fixer, dans une ère où la technologie facilite de plus en plus la circulation et l’échange de renseignements, des règles régissant la collecte, l’utilisation et la communication de renseignements personnels d’une manière qui tient compte du droit des individus à la vie privée à l’égard des renseignements personnels qui les concernent et du besoin des organisations de recueillir, d’utiliser ou de communiquer des renseignements personnels à des fins qu’une personne raisonnable estimerait acceptables dans les circonstances. » (PAPINEAU, 2019). Alors, tout employé est protégé si jamais certains désirent faire l’usage de la Fitbit à l’extérieur des heures de travail.

Michel est accompagné de sa Fitbit durant l’entièreté de la journée et s’y réfère fréquemment. Durant ses heures de travail, Michel se fait avertir par sa montre Fitbit si jamais une nouvelle rencontre entre employés ou rendez-vous à lieux. Cette fonctionnalité permet une transmission des informations beaucoup plus rapidement et personne ne peut affirmer que l’information ne s’est pas rendue à destination. En effet, certains collègue de Michel utilisent trop souvent l’excuse du “email non-reçu” afin de manquer des réunions. Michel commence à être pas mal tanné de cette situation. Principalement pour cette raison, les patrons de Michel ont décidé d’obliger les employés de constamment porter une Fitbit à leur poignet durant leurs heures de travail. La majorité des employés n’étaient pas vendus par l’idée par peur que leurs patrons en profitent pour les surveiller sur leurs heures extérieures de travail. Effectivement, les employés décident s’ils veulent ou non profiter de cet outil hors du travail.

Malheureusement, étant un appareil électronique, la possibilité de piratage est présente. Par exemple, le 2 septembre 2018, plus de 2500 bracelets Fitbit se sont fait piratés et plusieurs informations privées telles que des prénoms, noms ainsi que des adresses courriels ont été envoyées à d’autres utilisateurs de l’appareil Fitbit[1]. Ce type de problème pourrait engendrer des situations dérangeantes pour l’entreprise comme la propagation d’informations confidentielles sur les patrons, les employés, leurs tâches, leurs sujets de réunion, etc. Si jamais une entreprise concurrente tombe sur ces données, Fitbit pourrait subir un grand coup. D’autant plus que la vie privée des employés serait en jeu.

Solution proposée

Afin d’assurer la vie privée de Michel et de ses collègues de travail, les patrons devraient publier un communiqué indiquant les données précises récoltées par ces derniers. De plus, ils devraient assurer leurs employés que s’ils choisissent de garder la Fitbit à l’extérieur des heures de travail les patrons ne tirent pas avantage de cet outil afin de surveiller leurs employés dans leur vie privée.

De plus, les patrons ne devraient pas obliger leurs employés à porter la Fitbit à l’extérieur des heures de travail. Chacun devrait être responsable de prendre sa propre décision.